Le tenancier ayant horreur des notices nécrologiques, il se bornera à donner un mince aperçu de ses productions ci-dessous et à renvoyer les curieux vers le blog de Fornax, lequel publia des choses fort intéressantes.
Voici un aperçu de ses productions :
Par l'OuLiPo
Par Fatrazie
Par l'Alamblog
Et un entretien, toujours à l'Alamblog
A chaque fois qu'un grand liseur meurt, je me demande souvent s'il a eu le temps de transmettre ses bons secrets, de révèler l'essentiel de ses lectures à l'un(e) ou l'autre proche. Une question dont la réponse n'est pas bien importante mais que, parfois, je me plais à imaginer comme étant.."mais à personne".
RépondreSupprimerzut..encore encore oublié de signer.
RépondreSupprimerPhil
Ouigre, Phil ! Je vois à quoi vous faites allusion : la fameuse parabole de la bibliothèque qui brûle quand un vieillard meurt...
RépondreSupprimerAinsi, le vieux con serait inscrit dans les registre des ressources patrimoniales. Perspective décourageante.
Heureusement, ni Lacassin ni Caradec n'étaient de cette espèce. Je me plais à penser à ceux-là comme quelques tribuns des lettres avec leur clientèle (ceci, bien entendu, dans le sens "romain" du terme) : obligés de se dépenser pour entretenir la fidélité.
Donc, point d'autodafé de vieillards lettrés ici, point de chair desséchée livrée au fagot... Du reste le pemmican littéraire, ça va un moment...
jtm, ..amusant mais je ne pensais pas au vieillard littéraire, isolé et fier de ne rien transmettre. J'émettais l'idée (un peu éprouvée) qu'il est vain de transmettre les perles de lectures comme des armoires à héritage. Reste que la disparition d'un spécialiste comme ceux dont vous parlez, amène parfois à méditer ses questions..
RépondreSupprimerPour ces spécialistes, de toute façon, ils est certain qu'ils n'auront pas tout transmis.
RépondreSupprimerCeux-là nous auront au moins fait découvrir des choses avec style...