Je viens d'apprendre la nouvelle du décès de Francis Lacassin.
Un simple hommage, au passage, à une personne sans laquelle je n'aurais pas eu quelques joies de lectures en compagnie de Gustave Le Rouge, de Fantômas, de London...
Merci.
Un simple hommage, au passage, à une personne sans laquelle je n'aurais pas eu quelques joies de lectures en compagnie de Gustave Le Rouge, de Fantômas, de London...
Merci.
jtm, j'apprends toujours des choses chez vous. Je vous le dis de manière anonyme car j'en ai assez de renouveler mon mot de passe à chaque visite. Pourtant, je l'avais bien mémorisé cette fois. La technique est parfois pénible. Lacassin n'est pas de "ma période" mais ça n'empêche, comme dit ma coiffeuse.
RépondreSupprimerPhil, est-ce vous ? Je reconnais votre style.
RépondreSupprimerNous avions déjà causé de Francis Lacassin chez Henri Lhéritier à propos de l'anthologie qu'il avait préparé pour Jean Lorrain. Nous en avions une piètre opinion, du reste. C'est l'une des rares fois où il fut décevant. En revanche, puisque je vous sais amateur de cinéma, je ne puis que vous recommander son ouvrage sur Louis Feuillade que j'avais d'abord lu pour Judex, pour Fantômas et qui a fini par m'intéresser pour l'ensemble de ses production. Le talent de Lacassin, c'était aussi cela : vous intéresser pour ce qui n'allait pas forcément de soi. Et puis, il y a l'affaire Le Rouge / Cendrars ! Et puis... Et puis je vois que je déborde de ce que je voulais faire, c'est à dire un hommage discret comme l'homme le fut, chaque fois que je pu le croiser à la librairie ou je travaillais.
Merci, cher jtm...également pour avoir reconnu...le style de ma coiffeuse.
RépondreSupprimerCertains propos de blog doivent être lus deux fois pour être mémorisés. Enfin c'est une recette que je semble pratiquer à rebours: je ne me souvenais plus du tout que Lacassin avait préfacé le recueil des textes de Lorrain, que pourtant je possède..mais "délocalisé".Dites-nous tout, jtm, vous qui coulissez dans l'édition: pourquoi diable Lacassin s'est-il intéressé à Lorrain ?
Oui, je vois parfois les livres de Lacassin dans sa colection 10-18. Ses écrits sur le cinéma, dont vous fournissez les photographies sur cette note, me semblent bien passionnants. Je dois encore les lire mais je regrette la forme de ces petits livres précocement jaunis au papier si laid. Ne peut-on pas le lire dans une plus belle édition ? ..quand je pense qu'il voisinait chez ce libraire avec la belle édition du livre "festival de Cannes", rédigé le neveu Médicis...
En fait, les ouvrages dont j'ai reproduit les couvertures ne concernent pas le cinéma. Sauf Tarzan, mais ce n'est pas l'essentiel du propos. Pour ce qui concerne Feuillade, après une 1ere édition chez Seghers dans la collection "Cinéma d'Aujourd'hui", il fut réédité chez Pierre Bordas, considérablement enrichi !
RépondreSupprimerJe crois que Lacassin s'intéressait à Lorrain en voisin puisqu'il me semble qu'il résidait également à Nice. Je pense que c'est aussi dû aux accents "fantastiques-frénétiques" de Lorrain, qui devaient bien lui plaire. Hélas, trois fois hélas, beaucoup de 10/18 sont des inédits à l'époque. Vous ne trouverez donc pas d'édition antérieure... ou postérieure.
Mes compliments à votre capillopracticienne.