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Ah la belle morale ! Et oh le beau cavalier qui part vers le soleil couchant à la façon d'un Lucky Luke. Mais c'est vrai, très cher, que le cheval ne vous ressemble guère.
RépondreSupprimerPour le reste, vous avez aiguisé notre curiosité. De quel livre s'agit-il, cette "fausse" originale ?
Otto Naumme
Je parlais dans l'abstrait, cher Otto.
RépondreSupprimerBen oui Otto, il est des originales qui se multiplient comme des petits pains, dans le concret.
RépondreSupprimer(Est-ce bien comme ça qu'on explique, Tenancier ?)
ArD
Si nous, les éditeurs, on peut plus se faire un peu de gratte en publiant trois ou quatre fois le même texte sous trois ou quatre titres différents, où va-t-on ?
RépondreSupprimerPar exemple, pour un classique du bon goût anglais de Thomas de Quincey, on titre :
De l'Assassinat considéré comme un des beaux-arts au Mercure de France en 1901,
L'assassinat considéré comme un des beaux-arts aux éditions Eos en 1930,
Du meurtre considéré comme un des beaux-arts aux éditions La Boétie en 1945.
Et c'est mieux encore quand on est éditeur de périodique. On rebaptise la nouvelle ou le conte qu'un auteur a réussi à nous refourguer alors qu'il l'avait déjà fait une douzaine de fois chez des confrères de province, ou d'une autre province, on rebaptise donc pour ne pas passer pour un imbécile, pour faire accroire qu'on ne publie que de l'inédit et qu'on ne se fait jamais avoir.
Manquerait plus qu'on n'ai plus le droit de ne pas rebaptiser.
Un jour, un confrère a rebaptisé La Bible en Mein Kampf. On n'y a vu que du feu...
La réponse documenté de CLS m'épargne d'expliquer aux syndicalistes obtus...
RépondreSupprimerCher Tenancier, permettez à l'homme d'humour badin que je suis (ce midi) pour vous libeller ce constat, à froid : vous dessinez aussi bien que vous écrivez, ce qui n'est pas la plus mince des prouesses.
RépondreSupprimerUne mauvaise langue de Puteaux dirait certainement que pour vos planches admirables, il n'était donc pas vain de s'adjoindre le service d'une paire croquignolette rôdant dans la région des génies.
Levons immédiatement tout ambiguité : je n'ai pas dessiné tout ceci. Cette BD est tirée de la série "Rakar" qui paraissait en supplément des aventures de Zembla, aux éditions Lug. Je me suis contenté de réorganisé l'ordre des vignettes et de détourner les dialogues !
RépondreSupprimerD'ailleurs, si vous trouvez d'autres Zembla je suis preneur !!!
... précision apportée au bas de ce billet.
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