Deviser pour Reignier

Ne vous inquiétez pas, nous allons sous peu revenir avec les histoires du Mystérieux Expéditeur. Je vous confie toutefois que ça commence un peu à tartir le Tenancier. Donc, après la dernière volée de billets sur le sujet on fermera la rubrique...

9 commentaires:

  1. Amen, cher Tenancier. On est au moins content d'avoir provoqué la résurrection, par le truchement de votre billet, du verbe "tartir".

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  2. Je sens comme une vanne pourrie dans ce titre mais j'arrive pas vraiment à saisir : même à supposer une coquille, que viendrait faire ici Henri de Régnier — qu'on s'attendrait plutôt à trouver chez SPiRitus ?

    En tout cas, vivement cette volée et le retour de la Pieuvre par Neuf !

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  3. Vous êtes vraiment un bourreau — et pas que des cœurs, hélas ! —, presque un bourrin, même…

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  4. George, allons, vous me désespérez à vouloir tout savoir et tout décortiquer. Et le Mystère, alors ? Et l'attente délicieuse et un peu coupable (le péché, y'a rien de tel !) ? Et que ferez-vous une fois que vous saurez tout ? Plus nous en saurons, plus le délice de vouloir savoir s'estompera. Nous n'aurons alors plus le goût de la récidive. Et ce genre de postulat, mon cher George, cela marche avec un tas de choses. En somme, je me trouve plus entiché de ce mystère que vous puisque je le fais perdurer dans sa latence (un peu à mon insu, je le concède). Mais tout dire, mon cher George, tout dire c'est rendre la chose inerte — j'allais dire flasque — c'est donner un goût de rance, un fond de rancune au temps qui passe, comme un abandon.
    Allons, George, ça vient, cette suite. Plus la peine de m'engueuler comme vous le fîtes la dernière fois que je vous vis. Vous patienterez un peu jusqu'à demain soir. En attendant, il y a un autre billet que je tiens tout particulièrement à passer tout à l'heure. Merci de le lire, d'ailleurs.
    (p.s. : je ne passe pas demain, pour cause de pollution intense. C'est d'ailleurs le moment de lancer le slogan Tousse ensemble ! Tousse ensemble !)

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  5. "Intense" ? un tant soit peu pénible, voilà tout…

    Pour le reste, et sur le fond, cher Tenancier, disons que vous seriez plus Breton (tiens donc !) et moi Caillois dans la querelle des haricots sauteurs.

    Je raffole des histoires et des mystères, mais aussi de l'achèvement et de la clé des énigmes : rien de rance ni de rancunier là-dedans…

    (et je ne me souviens pas vous avoir "engueulé" mardi, juste un peu exhorté à sortir de tout ce relâchement : ce qui rend les choses inertes, c'est plutôt la lassitude qui sourd de l'attente démesurée)

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  6. Donc il faudra mettre votre dépouille dans une vitrine du Musée de l'Holmes, avec les spécimens d'amateurs de Mystères...

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  7. Ah mais serait-ce que vous me tenez pour une sorte de chère loque ?
    Des pouilles je ne sais en tout cas rien sinon que c'est en Italie.

    Et tout le reste est littérature.

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  8. (soupir…)
    "Sous peu", ça veut dire grosso modo dans moins d'un an, c'est ça ?
    Vous en avez soupé, de cette histoire pourtant sur le point de parvenir à son acmé ?

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