8 commentaires:
Les propos et opinions demeurent la propriété des personnes ayant rédigé les commentaires ainsi que les billets. Le Tenancier de ce blog ne saurait les réutiliser sans la permission de ces dites personnes. Les commentaires sont modérés a posteriori, cela signifie que le Tenancier se réserve la possibilité de supprimer des propos qui seraient hors des sujets de ce blog, ou ayant un contenu contraire à l'éthique ou à la "netiquette". Enfin, le Tenancier, après toutes ces raisons, ne peut que se montrer solidaire des propos qu'il a publiés. C'est bien fait pour lui.
Ah oui, au fait... Le Tenancier ne répondra plus aux commentaires anonymes. Prenez au moins un pseudo.
Donc, pensez à signer vos commentaires, merci !
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.
Natalie, reviens !
RépondreSupprimerTout est pardonné - même le papier peint.
Ah Monsieur Pop9, notre maison ne saurait de toute façon rivaliser avec la kyrielle de reproductions dont vous abreuver nos rétines ! Nous en avons prélevé quelques unes pour notre album secret.
RépondreSupprimerCela réconforte.
Savoir que nous vous réconfortons nous réconforte, cher m'sieur T.
RépondreSupprimerEt votre album secret doit être un fameux volume. L'idée d'avoir contribué à son iconographie nous réconforte aussi un tantinet.
Et je suis réconforté de ce réconfort commun.
RépondreSupprimerQuant au papier peint, il ressemble bigrement à celui d'une chambre à coucher que j'ai fréquenté à une époque. Beaucoup de similitudes avec cette photo, en fait. Mais l'oreiller semblait moins moelleux, peut-être.
Otto Naumme
La toile de Jouy va bien avec votre côté gentilhomme campagnard, mon cher Otto.
RépondreSupprimerLa toile de quoi ?
RépondreSupprimersans entrave, cela va sans dire
RépondreSupprimerSans entrave, sans entrave... Pourquoi faudrait-il toujours mettre, justement, des entraves à certains désirs d'entraves ?
RépondreSupprimerFacilement, je dirais que cela resserre les liens. Il ne faut jamais se refuser à certaines attachantes luxuriances...
Otto Naumme