22 commentaires:
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J'aime toujours autant ces photos. Je serais totalement incapable de dire ce qu'elles montrent (encore qu'on pourrait sans doute faire une belle brochette d'hypothèses sur le sujet - une idée, Tenancier ? "Racontez ce que vous voyez sur cette photo ?"), mais je la trouve très belle.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Il me semble, cher Otto, que cette photo représente le dos d'un futur livre (dont on voit les cinq nerfs) pris dans un étau afin de subir l'endossure.
RépondreSupprimerCette photo représente en réalité une charge de dynamite. Le bouquin promettait d'être explosif. Rien que le titre était alléchant :"Les tribulations d'un Tenancier au pays des vermeils et autres bagatelles". Voilà qui va cruellement faire défaut à tous les assoiffés de culture. C'est une honte.
RépondreSupprimerTiens, George, CW, vous étiez biens discrets ces derniers jours...
RépondreSupprimerUne petite virée en province, et puis submergé de gros problèmes depuis mon retour. D'ailleurs, je songeais venir vous demander quelques conseils de vive voix…
RépondreSupprimerPrenons un rendez-vous !
RépondreSupprimerVous prenez des risques cher Tenancier : en effet, le substantif "Mystères" est très connoté par chez vous.
RépondreSupprimerDes risques assumés, je présume...
RépondreSupprimerOtto Naumme
Cher George, je pense que vous avez tout à fait raison, même si cela est quelque peu prosaïque (on aurait aimé une explication un peu fantasmagorique...).
RépondreSupprimerOtto Naumme
Mais un certain retour du réel m'a effectivement rendu ces derniers temps très prosaïque, cher Otto. Au point que je songe à me mettre sous Prozac (hic !).
RépondreSupprimerCela dit, je galéjais : cette vue du ciel nous montre en réalité le dernier vestige du zeppelin Hindenburg, après son explosion lors de l'atterrissage le 6 mai 1937.
Vous vous méprenez cher George : il s'agit là des obsèques d'un saucisson sec (à lire à voix haute).
RépondreSupprimerAu fait, c'est qu'un cliché offset obsolète.
RépondreSupprimerAh, les obsèques du saucisson sec, cela me sied assez, merci cher Christophe.
RépondreSupprimerCher George, l'hypothèse du zeppelin est intéressante également.
Pour le reste, faites attention aux médicaments serbo-croates, Prozac, Diantalvic, barbituric et autres analgésic, ils ne sont pas forcément bons pour la santé de ceux qui ne vivent pas en Dalmatie !
Otto Naumme
Laissant un Dalmatien t'acheter, maudit Prozac, je vais plutôt me diriger vers quelques bonnes bouteilles.
RépondreSupprimerOn pourrait aussi intituler la photo : Ossuaire au suaire, bien qu'elle évoque également certain rôti que vous nous présentâtes jadis, cher Otto.
Effectivement, cher George, on pourrait voir ici certaines ressemblances avec un James Dean "rôtifié" il y a quelques temps (sur lequel je m'interroge toujours autant, du reste...).
RépondreSupprimerPour la bouteille, j'agrée. Je viens de déguster un charmant Laville Bertrou 2008, un Minervois-La Livinière ma fois fort sympathique, qui mérite plus qu'un clin d'oeil.
Et ça a meilleur goût que le Prozac, ah mais !
Otto Naumme
J'oubliais, cher George : j'espère bien que nous aurons l'un de ces jours l'occasion de partager. Pas des Prozac, merci, mais plutôt une bonne bouteille, ça sera un grand plaisir.
RépondreSupprimerAvec ce cher Christophe également, mais il le sait depuis longtemps. Et il faut qu'avec le Tenancier nous nous décidions à aller conquérir l'Alsace à nous deux. Une question d'heures.
Otto Naumme
Le plaisir aussi serait partagé,cher Otto.
RépondreSupprimerVous savez où me trouver, contrairement à l'inverse…
Oh, cher George, me trouver n'est pas bien compliqué, demandez au Mystérieux Expéditeur.
RépondreSupprimerEt notre bon Tenancier connaît mon adresse, je vous le garantis !
Otto Naumme
C'est ce qu'il vient de m'apprendre de vive voix, pour une histoire électrique à votre décharge.
RépondreSupprimerDésolé, cher Otto, nous ne vous avons pas attendu — nous : moi, le philosophe et l'esthète — pour partager le plaisir et les bouteilles, mais les suivantes en votre compagnie seront meilleures, comme il se doit (et à l'œil !)
Ah que j'aurai aimé être des vôtres, plutôt que de trimer bêtement devant mon écran et de contempler la pluie qui arrose la campagne environnante (cela dit, elle en avait besoin...).
RépondreSupprimerEt de quelle histoire électrique était-il donc question ? La formulation m'inquiète...
Mais vous avez bien eu raison de boire sans attendre, il ne faut jamais remettre ces occasions. Et, je vous l'assure, nous trouverons sans aucun doute le temps de nous humecter le gosier à l'unisson (encore que je préfère le pastis, question de goût). Et dans pas longtemps, foi d'Otto !
Otto Naumme
Eu égard à la teneur et aux vapeurs du commentaire précédent, ce "foi d'Otto" c'est quand même du grand art, qui plus est correctement orthographié.
RépondreSupprimerCher Christophe, je me réjouis de vous lire en ces lieux, ma foi quelque peu désertés ces derniers temps, je trouve (pas par vous, mais le Tenancier s'est fait un peu paresseux, je trouve). D'autant que j'apprécie votre sortie, sachant d'autant plus que j'ai quand même longuement hésité à inscrire une autre orthographe, je me demande encore pourquoi...
RépondreSupprimerCela dit, tout cela me rappelle une aussi ancienne que fine plaisanterie :
"Buvez Vichy St-Freud ! Avec Vichy St-Freud, mon moi, connaît pas !"
Hum...
Otto Naumme