Ce court billet est le 200e du blog.
Merci à vous tous.
Les propos et opinions demeurent la propriété des personnes ayant rédigé les commentaires ainsi que les billets. Le Tenancier de ce blog ne saurait les réutiliser sans la permission de ces dites personnes. Les commentaires sont modérés a posteriori, cela signifie que le Tenancier se réserve la possibilité de supprimer des propos qui seraient hors des sujets de ce blog, ou ayant un contenu contraire à l'éthique ou à la "netiquette". Enfin, le Tenancier, après toutes ces raisons, ne peut que se montrer solidaire des propos qu'il a publiés. C'est bien fait pour lui.
Ah oui, au fait... Le Tenancier ne répondra plus aux commentaires anonymes. Prenez au moins un pseudo.
Donc, pensez à signer vos commentaires, merci !
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.
Eh bien, George, vous savez ce qui vous reste à faire, n'est-ce pas ? Y a du boulot ici ! 200 billets, on ne dirait pas comme ça... Courage !
RépondreSupprimerArD
oui, vend les donc à Assouline !pour son tome II
RépondreSupprimerDe ce court billet, retenons déjà le titre...
RépondreSupprimer(Merci à vous, Tenancier.)
200 billets ! Et vous allez les distribuer sous la Tour Eiffel ?
RépondreSupprimerQuant à Assouline, aux dernières nouvelles, il n'achète pas les billets ou commentaires, il se les approprie....
En tous cas, mille mercis pour votre blog, cher Tenancier.
Otto Naumme
Cent mots sans fleurs, Rouletabille et maintenant deux cents billets : logique implacable !
RépondreSupprimerMais un coup de billard jamais n'abolira le hasard.
Ô Tenancier, continuez à distribuer, et bille en tête, attendons un bilboquet sur la chasse à la billebaude et autres billevesées.
L'absynthe ne vaut rien après déjeuner, longue vie aux faussaires, Tenancier !
RépondreSupprimerVrain-Lucas
De toutes façons, les absynthes ont toujours tort.
RépondreSupprimerOtto Naumme
Comme cette chose est élégamment ceinte, Otto !
RépondreSupprimerArD
Tiens, Eva ! On s'était croisés à au festival d'Argelès, pendant la paëlla géante, voilà quelques années…
RépondreSupprimerRassurez-vous, ArD, je ne vais pas envahir tous les billets de commentaires. Je me suis juste promené pour voir quand les présents intervenants ont surgi par ici.
Vrain-Lucas était une autre relation de Chasles que celle qu'on enseigne aux écoliers.
C'était un clin d'oeil, cher George, d'autant, il faut le rappeler, que les commentaires dont les vôtres présentent un certain attrait sur ce blog finalement.
RépondreSupprimerSamedi, je vous voyais parti dans une forme de « colle » rétrospective. C'était donc le balisage du cursus des intervenats...
Mon ironie ne vous aura pas fâché, j'espère ?
--
Vrain-Lucas, autre relation e Chasles : Mais encore ?
ArD
Fâché ? Mais non, ArD : entre nous, ça colle, si j'ose dire.
RépondreSupprimerVrain-Lucas était un faussaire de génie, qui a réussi à vendre à ce grand crédule de Chasles des milliers de documents autographes, dont des lettres en français de Jules César et de Jésus…
Eh oui, dans une arnaque, il faut être deux : un escroc et un pigeon. Ce Chasles me donne l'impression d'en avoir été un de la plus belle eau.
RépondreSupprimerEspérons qu'il a eu les épaules pour supporter ça...
Otto Naumme
Le plus drôle, c'est que toute l'affaire a été mise au jour parce que Chasles, fort des arguments très obligeamment fournis par Vrain-Lucas, s'est piqué de délivrer à l'Institut une communication établissant la prééminence de la langue et de la culture française dans l'histoire… Inutile de dire que ses éminents collègues se montrèrent légèrement dubitatifs, au vu des preuves qu'il produisait pour étayer son propos…
RépondreSupprimerAvant qu'ils ne dubitent, notre Vrain-Lucas aura tout de même eu le temps de fausser près de trente mille pièces.
RépondreSupprimerArD
Oui, vous vous rendez compte de la productivité de cet artiste ? D'autant qu'il faisait tout lui-même : rédiger les textes, varier sa calligraphie, modifier l'aspect du papier…
RépondreSupprimerIl mériterait bien une rue à son nom.
On ne le dira jamais assez, escroc, c'est un métier ! Un vrai !
RépondreSupprimerPeut-être cela existe-t'il déjà, mais je rêverai de pouvoir lire une sorte d'anthologie des plus belles escroqueries. J'ai toujours eu une forme d'admiration pour les arnaqueurs. Peut-être parce que j'en ai cotoyé certains de près, dans ma famille...
Otto Naumme
Hu hu, voilà qui devrait faire ruisseler bien des babines…
RépondreSupprimerNe vous fendriez-vous pas d'un petit billet à ce sujet, cher Otto ? (Tiens, je me demande tout à trac si vous ne seriez pas apparenté avec la famille Jaquesson…)
Mais je crois bien que ce genre d'anthologies existe déjà.
Avez-vous vu ce joli film intitulé Je mets mon pas dans le pas de mon père, qui narre une escroquerie à tiroirs ?
Cher George, non, pas de ce nom dans mes aînés, du moins officiellement (après, je ne sais pas - tous - les patronymes utilisés au cours des années par eux...). Et ces tristes personnes (tous les escrocs ne sont pas brillants et intéressants, j'ai des preuves...) ne méritent vraiment pas qu'on s'épanche sur leur cas. En outre, cela n'a guère de rapport avec le sujet du blog de notre cher ami Tenancier, je me verrais donc assez mal écrire sur ce sujet ici.
RépondreSupprimerPour le film, oui, je le connais, très amusant. Avec un Jean Yanne parfait. Dans le même genre, en moins réussi, plus crétin mais malgré tout pas dénué d'un minimum d'intérêt, il y a Les parrains, l'une des dernières apparitions de Jacques Villeret (bien fatigué, il faut le dire). Dans un registre plus sombre, il y a Les arnaqueurs, tirés d'un roman de l'immense Jim Thompson et adaptés à l'écran par le non moins immense Donald Westlake.
Otto Naumme
Bon, donc je laisse tomber ce clin et j'en fait mon deuil, tout court.
RépondreSupprimerJe ne connais pas Les parrains, mais j'ai vu à plusieurs reprises le film de Frears. Outre que l'histoire de l'inceste me met toujours un peu mal à l'aise, je trouve l'escroquerie — qui ne manque pas d'envergure, il est vrai — moins fine que dans Je mets mon pas…. Je lui préfère encore celle du médiocre L'Arnaque, de George Roy Hill.
Mais pour en revenir au thème naturel de ce blogue, la plus belle machination que je connaisse, en matière de cinéma, est celle exposée dans le film de Bernard Rapp, Tiré à part (1996), avec Terence Stamp et Mesguisch.
RépondreSupprimerPour Otto qui a dit "je rêverai de pouvoir lire une sorte d'anthologie des plus belles escroqueries" et alii,
RépondreSupprimerhttp://www.cartouche-editions.com/parfaitsecretaire.html
Je signale à George que nous avons déjà évoqué "Tiré à Part" dans ce blog :
RépondreSupprimerhttp://feuilles-d-automne.blogspot.com/2009/06/tire-part.html
et nous sommes bien heureux de tomber d'accord !
Merci, je n'étais pas encore arrivé jusque là. J'y cours voir.
RépondreSupprimerMerci (décidément !), Anonyme, pour le lien vers le compendium autour de l'affaire Vrain-Lucas. J'avais complètement cet ouvrage qui doit pourtant dormir quelque part dans ma bibliothèque !
RépondreSupprimerMerci pour ce lien, cher Anonyme (Expéditeur de son état, par ailleurs ?). Malheureusement, la page semble avoir un problème d'affichage, peut-être lié à mon ordinateur au fonctionnement parfois... caractériel, disons...
RépondreSupprimerEn tous cas, je vais réitérer ma tentative sur cette page, les autres ouvrages proposés par Cartouche semblant bien intéressants eux aussi.
Otto Naumme