
— « Dites-moi, il doit y avoir une erreur : vous affichez 5 € la BD, et celle-ci est marquée 25 €. — C’est une première édition monsieur. Et vous l’avez prise dans le bac correspondant, et non celui des éditions courantes à 5 €. — Je vous en prends 2 à 30 €. — Vous n’êtes pas sans savoir qu’il existe une côte pour ces premières éditions, et mes prix sont bien en-dessous de celle-ci. Mes prix sont fermes. — Et à 40 les 2 ? Il est reparti avec un livre de la caisse à 1 €, en comptant bien sa monnaie. Une heure plus tard, il était de retour : — « J’ai changé d’avis ». |
Pas encore d'ulcère la libraire?Arghhhhh, ces clients!
RépondreSupprimerMais quelle jubilation intérieure, par contre, Madame Anonyme E.
RépondreSupprimerBéatrice
De deux choses l'une, Béatrice :
RépondreSupprimer- Ou c'était un intellectuel ( cf. la vitesse de prise de décision)
- ou sa petite amie lui a fait faux bond et n'était pas au RDV pour prendre un hot dog frites moutarde et une bière et il ne savait plus quoi faire de sa monnaie.
Une chose est sûre : face à un tel butor, on ne change pas d'avis, soit-même. C'en est un vrai ; et de la plus belle espèce...
RépondreSupprimerMais puisqu'il vient laisser son argent, après tout...
Otto Naumme