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Image transmise aimablement par Eva Truffaut qui n'oublie pas le si prestigieux et si captivant métier de bibliothécaire...

16 commentaires:

  1. Oui, on sent l'abnégation...
    On ne soupçonne pas à quel point la vie du rat de bibliothèque peut se révéler pesante et emplie de vicissitudes...

    Otto Naumme

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  2. C'est vrai, c'est un métier difficile et dont l'accès est sanctionné par des épreuves très relevées.

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  3. Voilà une jolie couverture. Bas les masques !

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  4. Comme quoi, également, il ne faut jamais oublier de rendre ses ouvrages à temps à la bibliothèque...

    Otto Naumme

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  5. … ni oublier de rendre ses hommages à la bibliothécaire…

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  6. ...votre « ses » me laisse perplexe, cher George...

    ArD

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  7. Effectivement, cher ArD, il semblerait que ce bon George laisse à penser qu'il oublie quelques effets en cours de visite. Les dommages de ses hommages, en quelque sorte...

    Otto Naumme

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  8. Ouch, j'ai comme un coup de fatigue.
    Avec mes plus plates excuses, chère ArD...

    Otto Naumme

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  9. Koikjédi encore de pas correct ? Vraiment, je n'y comprends rien ! Quels effets aurais-je donc ménagé ?

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  10. Cher George, je pense que notre chère ArD suggérait que vous auriez donc emprunté ses hommages à cette accorte bibliothécaire, ce qui, vous le comprenez aisément, laisse perplexe toute commentatrice. Que vouliez-vous donc faire de ces hommages ? Où les aviez-vous emporté avant de lui rendre ? Lui avez-vous rendus dans l'état où vous les aviez trouvé en les empruntant ?

    J'espère avoir contribué à éclairer votre lanterne, cher George...

    Otto Naumme

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  11. Je soupçonne un soupçon de mauvaise foi taquine : l'expression prodiguer [ou rendre] ses hommages me semble tout à fait correcte et explicite, non ?

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  12. Taquin ? Très probablement, cher George. Mais relisez-vous : vous parlez bien de "rendre ses hommages" et non de "prodiguer". La lettre est la lettre. Ite lettra est.

    Otto Naumme

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  13. Taquine ? Possiblement, couac euh... «rendre hommage» eût été plus seyant pour la bibliothécaire. La notion d'allers-retours laisse à désirer. En effets.

    ArD

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  14. Mais voyons, cher Otto, c'est de votre faute : c'est vous qui parliez de "rendre ses ouvrages" !

    Chère ArD, la notion d'allers-retours est très explicite sur la couverture du livre ici présenté. Tout comme le verbe désirer. Mais pardon, je m'égare.

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  15. ... D'où mon «s» à «effets», George. C'était tacitement suggestif (!)
    ArD

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